Myrianne Rousseau

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Notice biographique

Membre de l’ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux du Québec, Myrianne a obtenu son baccalauréat en service social en 2005 à l’Université Laval. Durant ses études, elle a travaillé comme assistance de recherche au Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes (CRI-VIFF) et comme assistance d’enseignement pour quelques professeurs de l’école de Travail social de l’Université Laval.

De 2006 à 2011, elle a été intervenante jeunesse pour l’organisme le Contrevent qui a pour mission d’offrir du soutien aux proches des personnes vivant avec un problème de santé mentale. Son rôle est d’expliquer aux jeunes la santé mentale de leurs parents ou de leurs proches.

De 2012 à 2017, elle a travaillé à l’application des mesures au Centre jeunesse de Chaudière-Appalaches. Cela lui a permis de travailler avec les personnes les plus vulnérables de notre société tout en développant ses connaissances sur différentes problématiques touchant la protection de la jeunesse comme la maltraitance, les troubles de comportements et la santé mentale jeunesse.

Depuis 2017, Myrianne œuvre comme agente de planification, de programmation et de recherche au centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de Chaudière-Appalaches pour la Direction du programme jeunesse. Elle partage ses savoirs expérientiels et ses connaissances aux intervenants et aux gestionnaires en développant de la formation et des guides cliniques. Elle est impliquée sur des projets ministériels tels qu’Aire ouverte, le programme québécois sur les troubles mentaux (PQPTM) et le déploiement d’une clinique pour les jeunes avec un TDAH. Elle travaille aussi sur des projets d’amélioration continue de sa direction touchant les jeunes en difficulté et la santé mentale jeunesse.

Myrianne siège sur le comité exécutif du conseil multidisciplinaire (CECM) de son établissement depuis 2019 dans un premier temps comme responsable des communications et comme présidente depuis 2020. Elle se joint au conseil d’administration de l’ACMQ comme responsable du comité des communications. Son désir est de faire avancer des dossiers au plan provincial. Elle portera la voix des 76 000 technologues et professionnels en santé et service sociaux pour améliorer la qualité de leur pratique professionnelle et rendre des services de qualité aux usagers.